L'enfer n'est pas loin

Divers secteurs d’activité parviennent à se faire aujourd’hui octroyer des subventions de la part du gouvernement. Ces protections ne sont pas délétères… si elles favorisent l’instruction, l’apprentissage, ou la recherche et le développement. Il faudrait que cela soit demeurer l’unique objectif de l’allocation des aides. Les subventions sont cependant trop souvent décernées à des des domaines d’activité périmées qui ont évité d’évoluer avec leur temps. On peut citer les mines de charbon ou les chantiers navals. Ces soutiens sont en plus fort régulièrement attribuées aux objectifs favoris de ministres qui croient que leurs opinions ont une plus grande valeur que celles du marché. Je pense seulement aux panneaux solaires ou au tourisme. Ces subventions sont bien régulièrement adjugées à des domaines ayant la préférence d’un député, qui haïssent le libre marché et ont donc besoin d’être sauvés de leurs compétiteurs. Quelqu’un a-t-il doté des subventions à la marque à la pomme pour qu’il apporte sur le marché un projet inventif comme son fameux téléphone, amenant à peu près le glas d’une industrie telle que Nokia. Qui a affecté des subventions à un constructeur automobile tel que BMW afin qu’il accroisse de façon spectaculaire sa part de marché en pondant des modèles plus séduisants avec des moteurs moins gourmands. Les subventions s’efforcent de asservir, et même de réduire l’alternative du citoyen. L’exemple des subventions agricoles européennes en est la parfaite illustration. L’alliance d’indemnités agricoles pour les agriculteurs nationauxet de taxes à l’import pour les rivaux étrangers entrave le choix des consommateurs d’Europe et les oblige à verser des prix excessifs que si le marché était concurrentiel. Le libre marché est la meilleure façon d’exhorter les entreprises à faire preuve d’inventivité. Le groupe qui en est incapable est condamné à succomber. Celui qui sait attirer les les clients grâce du prix, de la valeur et du service est récompensé à sa juste valeur. La meilleure façon de pervertir cette mécanique de sélection est en définitive de distribuer des subventions qui favorisent l’inefficacité des entreprises, tandis que le challenge exalte leur audace.

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