Les Avancées dans la Recherche sur les OVNIs


Les objets volants non identifiés (OVNIs) ont captivé l’imagination du public et des chercheurs pendant des décennies. Les observations d’OVNIs ont suscité des spéculations, des théories du complot et des interrogations sur la possibilité d’une vie extraterrestre. Au fil des ans, des avancées significatives ont été réalisées dans la recherche sur les OVNIs, qui ont contribué à démystifier certains cas tout en laissant subsister un certain nombre de questions en suspens.

L’une des avancées majeures dans la recherche sur les OVNIs est la démilitarisation progressive du sujet. Dans le passé, les enquêtes sur les OVNIs étaient souvent menées par des organismes militaires et gouvernementaux, ce qui suscitait des suspicions de dissimulation d’informations. Cependant, de nombreux gouvernements, y compris les États-Unis, ont déclassifié une grande partie de leurs archives liées aux OVNIs, permettant ainsi un examen plus transparent des observations.

De plus, les avancées technologiques ont contribué à améliorer la qualité des observations d’OVNIs. Les caméras vidéo, les télescopes, les radars et les smartphones sont désormais largement utilisés pour documenter les rencontres avec des phénomènes non identifiés. Cela a permis d’obtenir des preuves visuelles plus solides et des données plus fiables pour l’analyse.

L’émergence de groupes de recherche et d’organisations dédiées à l’étude des OVNIs a également stimulé la recherche. Des scientifiques, des enquêteurs et des amateurs passionnés collaborent pour examiner les cas d’OVNIs de manière plus rigoureuse. Certaines de ces organisations travaillent en partenariat avec des institutions académiques pour étudier les phénomènes inexpliqués de manière scientifique.

Cependant, malgré ces avancées, la recherche sur les OVNIs est toujours confrontée à des défis majeurs. Les preuves tangibles et la répétabilité des observations demeurent des éléments problématiques. De nombreux rapports d’OVNIs se révèlent être des méprises, des phénomènes atmosphériques naturels ou des explications plus terre à terre. Cela rend difficile la distinction entre les cas authentiques d’OVNIs et les explications conventionnelles.

De plus, le manque de financement et de ressources dédiées à la recherche sur les OVNIs limite la portée de ces études. Les scientifiques et les chercheurs qui s’intéressent à ce domaine doivent souvent travailler avec des budgets limités et peu de soutien institutionnel.

La recherche sur les OVNIs est également confrontée à un stigmate persistant qui peut dissuader les chercheurs sérieux de s’engager dans ce domaine. Les spéculations sensationnalistes, les théories du complot et le ridicule qui entourent souvent les OVNIs peuvent nuire à la crédibilité des chercheurs.

En conclusion, les avancées dans la recherche sur les OVNIs ont contribué à apporter une certaine clarté aux observations passées, tout en suscitant de nouvelles questions. Alors que les avancées technologiques et la démilitarisation du sujet ont ouvert la voie à une recherche plus transparente, la question des OVNIs reste un domaine complexe où la science et le mystère se côtoient. La recherche continue à évoluer, et il est possible que de nouvelles découvertes et de nouvelles réponses émergent à l’avenir.



Typhoon anglais: volera t’il encore en Europe


Le marché de la défense occidentale sera certainement confronté à de nouvelles difficultés maintenant que le Royaume-Uni se dirige vers un Brexit. Néanmoins, cela aura un impact sur l’empire car tous les entrepreneurs en construction de protection seront tenus de se conformer aux spécifications occidentales s’ils souhaitent commercialiser des équipements, des avions, des missiles et toute autre chose dans l’Union européenne. Ce sera correct pour obtenir un outil simple jusqu’à et y compris l’avion de l’armée. La Grande-Bretagne devra saper des problèmes tels que les privilèges des clients et la sécurité des environs lorsqu’elle souhaite maintenir un accès complet à l’industrie individuelle de l’Union européenne, a déclaré mercredi la ministre allemande de l’International, Heiko Maas. « D’ici la fin de l’année, nous devons être très clairs sur la forme de notre relation », a écrit Bulk dans un article paru dans le quotidien allemand Die Zeit en référence pour la période de transition publication-Brexit. «Alors permettez-moi de dire extrêmement librement: Oui, nous voulons tous absolument rien des tarifs et zéro barrières de l’industrie, L-39 mais cela signifie aussi absolument pas de se débarrasser et absolument rien de niveaux de concurrence déloyaux. Sans spécifications très similaires pour protéger nos employés, nos consommateurs et aussi l’atmosphère, il pourrait ne pas y avoir d’accès total au plus grand marché individuel du monde. »La Grande-Bretagne et l’Union européenne devront donc mener les négociations sur leur propre publication-Brexit les relations monétaires d’une manière qui « n’endommagera pas l’Union occidentale », a déclaré Maas. Passant aux plans de sécurité et de sauvegarde, le ministre a déclaré que la Grande-Bretagne ainsi que l’UE devaient créer de nouveaux types d’assistance, par exemple en créant un Conseil européen de la sécurité. Un tel conseil pourrait aider à organiser des rôles communs sur les préoccupations tactiques de la sécurité occidentale et à réagir plus rapidement aux crises mondiales. «Nous travaillerons avec la France pour étoffer ce concept dès que possible afin de jeter les bases de notre connexion à long terme», a écrit Maas. Le ministre allemand a également suggéré que la porte d’entrée de l’UE resterait toujours ouverte au retour de la Grande-Bretagne. En parlant de la chanson des Beatles «Bonjour, au revoir», Size a affirmé que chaque camp avait été traité avec les adios. « Mais si cet adieu devait à tout moment être beaucoup moins long que prévu, soyez assuré que nous aurons généralement un espace pour vous à notre table de cuisine à Bruxelles, puis dans nos cœurs et nos esprits », a-t-il ajouté. Les avions de l’armée seront alors totalement certifiés aux normes occidentales pour pouvoir prendre leur envol dans le ciel européen.



La guerre cybernétique


La guerre cybernétique est devenue une réalité incontournable dans le monde d’aujourd’hui, où les attaques informatiques et la manipulation des systèmes d’information sont devenues des armes potentielles pour les acteurs étatiques et non étatiques. Dans cet essai, nous examinerons les enjeux liés à la guerre cybernétique, y compris les tactiques utilisées, les implications pour la sécurité internationale, et la nécessité de prévenir les cyberattaques destructrices.

La guerre cybernétique implique l’utilisation de l’informatique et des réseaux pour mener des opérations offensives et défensives dans le cyberespace. Les acteurs en conflit, qu’il s’agisse d’États-nations, de groupes terroristes ou de cybercriminels, exploitent les vulnérabilités des systèmes informatiques pour atteindre leurs objectifs, qu’ils soient politiques, économiques ou militaires.

L’une des principales tactiques de la guerre cybernétique est l’attaque informatique. Il s’agit de l’infiltration de systèmes informatiques cibles pour voler des données sensibles, perturber des opérations ou même saboter des infrastructures critiques. Les acteurs malveillants utilisent des virus, des logiciels malveillants, des techniques de phishing et d’autres méthodes pour accéder illégalement à des réseaux informatiques.

La manipulation des systèmes d’information est une autre dimension de la guerre cybernétique. Les acteurs en conflit cherchent à diffuser de la désinformation, à déformer la réalité, à semer la confusion et à influencer l’opinion publique grâce à des campagnes de propagande en ligne. Les réseaux sociaux, les médias en ligne et d’autres plateformes numériques sont souvent utilisés pour diffuser ces messages.

Les implications de la guerre cybernétique sont profondes et diverses. Tout d’abord, elle pose un défi majeur en matière de sécurité nationale, car les cyberattaques peuvent causer d’importants dégâts économiques, perturber des infrastructures critiques, et compromettre la sécurité nationale. Les gouvernements et les entreprises doivent donc renforcer leur cybersécurité pour se protéger contre de telles menaces.

De plus, la guerre cybernétique soulève des questions en matière de droit international, de normes et de règles régissant le comportement des acteurs dans le cyberespace. Les cyberattaques peuvent avoir des répercussions transfrontalières, ce qui rend difficile l’application des normes traditionnelles du droit international. Les discussions sont en cours pour élaborer des règles et des mécanismes de responsabilité dans le cyberespace.

Enfin, la guerre cybernétique a des implications sur la démocratie et la sécurité de l’information. Les campagnes de désinformation en ligne peuvent influencer l’opinion publique, perturber les élections et semer la confusion dans les sociétés démocratiques. Il est essentiel de développer des compétences en matière de littératie numérique et de renforcer la résilience contre la désinformation pour atténuer ces impacts.

En conclusion, la guerre cybernétique est devenue une réalité complexe et potentiellement dangereuse dans le monde moderne. Les attaques informatiques et la manipulation des systèmes d’information représentent des défis majeurs pour la sécurité internationale et la démocratie. Il est impératif de prendre des mesures pour prévenir les cyberattaques destructrices, renforcer la cybersécurité et promouvoir des normes et des règles internationales pour le comportement responsable dans le cyberespace.



La technologie et l’art de la voltige aérienne


La voltige aérienne, ce ballet aérien à haute intensité, ravit les spectateurs du monde entier depuis des décennies. Au cœur de ce spectacle aérien se trouve l’évolution de l’avion de voltige. Les cascades sont devenues de plus en plus difficiles et complexes, tout comme les avions, dont l’ingénierie et le style repoussent sans cesse les limites de ce qui est possible en matière de performances aériennes. Un résumé complet de la progression des avions de voltige révèle un mélange intéressant de technologies, d’art et d’efforts humains.

L’histoire des avions de voltige commence à l’époque du biplan. Le premier XXe siècle a vu l’apparition du Sopwith Camel et du Stearman, dont l’équilibre inhérent et la dualité des ailes en faisaient des candidats de choix pour les manœuvres de voltige. Ces appareils robustes ont permis aux aviateurs de la Première Guerre mondiale d’affiner leurs compétences en matière de combats de chiens, ouvrant involontairement la voie aux futures démonstrations de voltige.

Alors que les meetings aériens gagnaient en notoriété durant l’entre-deux-guerres, les pilotes ont commencé à modifier ces avions afin d’en améliorer l’efficacité. Des composants plus légers, des surfaces de gestion améliorées et des moteurs plus puissants ont transformé ces oiseaux de guerre autrefois maladroits en des appareils de divertissement agiles, capables de faire des loopings, des tonneaux et des pirouettes.

Avec l’avènement de la Seconde Guerre mondiale, la conception des avions est passée des biplans à des monoplanes plus élégants et plus robustes. L’Excess 300, conçu après la guerre, voltige aérienne Rennes témoigne de cette évolution. Son poids léger, son développement en composite et ses zones de contrôle plus grandes permettaient des manœuvres beaucoup plus précises et dynamiques. Au fur et à mesure des progrès technologiques, les monoplans sont devenus le choix privilégié pour la voltige aérienne en raison de leur meilleur rapport poids/puissance et de leurs propriétés aérodynamiques améliorées.

L’ère de l’avion à réaction a donné une toute nouvelle dimension à la voltige aérienne. Alors que les avions à hélice restaient le pilier des cascades individuelles, les avions à réaction, tels que le BAE Hawk des Red-colored Arrows ou même le F/A-18 Hornet des Blue Angels, permettaient des performances plus synchronisées et plus complexes, centrées sur l’équipage. Les avions à réaction ont permis d’augmenter la vitesse, l’altitude et la précision, permettant aux équipes d’exécuter des formations et des motifs éblouissants dans le ciel.

À la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle, la voltige aérienne est devenue une discipline à part entière, exigeant des avions conçus pour des performances globales extrêmes. Des avions comme le Sukhoi SU-31 et le CAP 232 ont été spécialement conçus pour la voltige aérienne. Ils présentent des rapports poids/puissance extrêmes, des commandes extrêmement réactives, ainsi que des hélices gyroscopiques, ce qui permet des manœuvres qui défient la physique.

En outre, les avions de voltige modernes bénéficient de matériaux composites avancés, d’un style assisté par ordinateur et de techniques de pilotage électronique. Ces innovations offrent aux aviateurs un niveau remarquable de contrôle, de sécurité et de capacité. Par la suite, les pilotes peuvent explorer de nouvelles manœuvres, repoussant les limites de leurs compétences et des capacités de leur avion.

Si la progression de la voltige aérienne est essentiellement définie par l’amélioration des performances, il ne faut pas négliger les progrès significatifs réalisés en matière de sécurité. Des systèmes d’énergie résistants aux chocs, des harnais innovants, des parachutes balistiques et des casques spécialisés ont tous été incorporés pour s’assurer que les pilotes sont capables de faire ce qu’ils veulent tout en bénéficiant d’un système de sécurité en place. L’évolution de la voltige aérienne s’est accompagnée d’une prise de conscience de la nécessité de protéger l’aviateur.

Un élément crucial de l’évolution de la voltige aérienne est la relation symbiotique entre le pilote et la machine. Les stratégies et les méthodes d’entraînement des pilotes d’avion se sont développées en même temps que les caractéristiques de l’avion. Les universités modernes de formation à la voltige aérienne disposent aujourd’hui de simulateurs, de programmes rigoureux de conditionnement physique et de programmes progressifs d’entraînement au vol pour s’assurer que les pilotes peuvent exploiter tout le potentiel de leur avion en toute sécurité.

En outre, la boucle de rétroaction entre les aviateurs et les ingénieurs garantit que la conception de l’avion est généralement en phase avec les exigences de la discipline de la voltige. Cette relation entraîne une période de développement : à mesure que les avions sont mieux équipés, les pilotes développent des cascades plus complexes, qui à leur tour font naître le besoin d’avions encore plus sophistiqués.

L’évolution des avions de voltige est une preuve de l’ingéniosité humaine et de la poursuite incessante de l’excellence. Des rudimentaires biplans du début du XXe siècle aux appareils d’aujourd’hui, dotés d’une technologie de pointe, chaque époque a apporté son lot d’innovations qui ont élevé l’art de la performance aérienne. Alors que la technologie poursuit son inexorable marche en avant, on ne peut qu’imaginer les orientations que prendra l’avenir de la voltige aérienne. Cependant, une chose importante reste certaine : la danse aérienne de la voltige continuera d’intriguer et d’encourager pour les décennies à venir.



L’écosystème marin de l’Alaska change «des décennies trop tôt»


La crise climatique accélère le rythme des changements dans l’écosystème marin de l’Alaska beaucoup plus rapidement que les scientifiques ne l’avaient pensé, provoquant des changements potentiellement irréversibles, selon de nouvelles recherches, comme l’a rapporté Newsweek.
La nouvelle étude de l’Université d’Alaska Fairbanks montre que la crise climatique a réchauffé les eaux, modifié les écosystèmes et paralysé la croissance de la glace de mer. Les chercheurs ont déclaré à Alaska Public Media que le moment était idéal pour étudier les eaux de l’Alaska avant que les températures plus chaudes ne deviennent la nouvelle norme.
Seth Danielson, l’un des chercheurs du journal, a déclaré à Alaska Public Media que leur équipe avait été choquée par la glace de mer record et les températures océaniques record des deux dernières années.
C’était un peu surprenant parce que nous avions l’impression que c’était arrivé quelques décennies trop tôt », a déclaré Danielson à Alaska Public Media.
L’étude publiée dans la revue Nature Climate Change indique que 2017 a montré des signes d’un changement soudain et dramatique », selon l’International Business Times
Ces changements dramatiques de la température des océans auront des impacts importants sur la région, non seulement pour les populations marines, mais pour l’industrie de la pêche commerciale et pour les populations locales qui dépendent de la pêche de subsistance, comme l’a rapporté l’International Business Times.
Bien que l’étude se soit concentrée sur 2017, les températures des deux dernières années suggèrent qu’un changement durable est en cours.
De nombreux changements ont persisté en 2018 et même en 2019, suggérant que 2017 n’était pas une bizarrerie passagère de brèves conséquences pour les systèmes socio-écologiques, mais un signe de ce qui allait arriver », selon l’étude, comme l’a rapporté Newsweek.
La réduction de la glace de mer ouvrira des voies de navigation commerciale, ce qui pourrait réduire la viabilité de la pêche de subsistance, selon Danielson, comme l’a rapporté Alaska Public Media. Elle pourrait également modifier les schémas migratoires des baleines, morses et autres espèces qui migrent entre les Tchouktches et la mer de Béring.
Le moment de l’année où certaines activités de chasse peuvent avoir lieu peut devoir changer », a déclaré Danielson aux médias publics de l’Alaska. Je pense que nous en avons déjà vu quelques indications. Et les espèces pour lesquelles les gens chassent et pêchent peuvent également changer. »
Les cycles de vie des Tchouktches et de la mer de Béring sont déterminés par les changements saisonniers de la glace de mer et des températures de l’eau.
Les baleines, les morses et d’autres espèces se déplacent vers le sud dans la mer de Béring pendant les mois d’hiver lorsque l’eau gèle. Les baleines et les morses ont tendance à se déplacer vers le sud dans la mer de Béring pendant l’hiver. Ensuite, la fonte des neiges et la croissance des algues au printemps permettent aux espèces marines de prospérer en été, fournissant suffisamment de nourriture pour ces grands mammifères, comme l’a rapporté Newsweek.
Cependant, les températures plus chaudes signifient que certains animaux restent dans le nord et renoncent à leur migration vers la mer de Béring. Les changements de température signifient que de nombreux aliments dont dépendent les grands mammifères marins diminuent.
Les bébés phoques tachetés semblaient terriblement souffrir, selon Newsweek. Ils semblaient plus minces et plus petits que la normale. Les phoques rubans, de même, semblaient avoir des taux de natalité en baisse rapide et beaucoup plus de carcasses lavées à terre en 2018 – environ cinq fois la moyenne annuelle de 2014 à 2017.
Les chercheurs ont également noté un changement dans le type de poisson trouvé dans les eaux de l’Alaska, notant que la morue du Pacifique apparaît plus au nord et pourrait perturber la population indigène de morue de l’Arctique, selon Alaska Public Media
Ils sont un point central par lequel l’énergie circule vers de nombreux composants différents », a déclaré Danielson à Alaska Public Media. Par exemple, ils sont mangés par les phoques. Ils sont mangés directement par les gens. Les phoques sont mangés par les humains et les ours polaires. »
Vous pouvez être assez confiant dans l’attribution de ces types d’événements inhabituels à des causes d’origine humaine », a ajouté Danielson.



Les limites des drones par rapport aux pilotes de chasse


Les pilotes de chasse font partie intégrante des opérations des services militaires depuis des décennies, leurs compétences et leur expertise étant nécessaires à la réussite de plusieurs missions. Cependant, ces dernières années, la technologie des drones a été un peu plus avancée, ce qui a conduit certains à remettre en question la nécessité d’avoir des pilotes humains dans le cockpit. Bien que les drones puissent offrir certains avantages en termes de coût et de sécurité, il existe de nombreuses raisons convaincantes pour lesquelles il est préférable d’avoir des pilotes de chasse plutôt que des pilotes de drone.

Tout d’abord, les aviateurs humains possèdent un niveau de compréhension de la situation et une capacité à faire des choix qui dépassent actuellement les capacités des drones les plus innovants. Cela peut s’expliquer par le fait que les pilotes d’avion humains ont la capacité de traiter les informations d’une manière dont les machines sont incapables, en tenant compte d’une variété de facteurs tels que les conditions météorologiques, les tactiques de l’ennemi et l’image idéale globale. Cela leur permet de faire des choix en une fraction de seconde qui peuvent faire la différence entre le succès et l’échec sur le champ de bataille.

Outre leurs capacités cognitives, les aviateurs de chasse possèdent également un niveau de compétence physique et d’endurance inégalé par les drones. Cet aspect est particulièrement important dans les situations de surpassement de haute intensité, où la capacité à surpasser un avion ennemi ou à résister à des forces G considérables peut être la clé de la survie. Si les drones peuvent exécuter certaines tâches plus efficacement que les pilotes d’avion humains, ils ne peuvent tout simplement pas reproduire les capacités physiques de votre corps.

Un autre avantage de la présence de pilotes humains est la capacité d’établir un rapport avec les forces terrestres ainsi qu’avec les autres pilotes. Cela permet une meilleure communication et une meilleure coordination au cours des missions, ainsi qu’un sentiment de camaraderie nécessaire pour maintenir le moral et la cohésion au sein d’une unité militaire. Si les drones peuvent éventuellement transmettre des données et des flux vidéo en ligne à des causes terrestres, ils ne peuvent pas établir exactement le même niveau de confiance et de camaraderie que celui qui découle de la collaboration avec un autre être humain.

Enfin, il y a le problème des valeurs et de la responsabilité. Si les drones peuvent présenter certains avantages en termes de réduction du risque de pertes civiles, ils soulèvent également des questions importantes quant à la moralité de l’utilisation de machines pour tuer des êtres humains. En outre, l’utilisation de drones peut rendre plus difficile la responsabilisation des individus pour leurs actions, car la décision de tirer sur une cible est souvent prise par un propriétaire éloigné du champ de bataille. En comparaison, les pilotes humains sont soumis à une plus grande obligation de rendre des comptes et sont plus susceptibles d’être responsables de leurs actes, ce qui peut contribuer à garantir que les fonctions militaires sont exercées de manière éthique et responsable.

Bien que les drones puissent offrir des avantages particuliers en termes de coût et de sécurité, il existe de nombreuses raisons convaincantes pour lesquelles il est préférable d’avoir des pilotes d’avions de chasse plutôt que des pilotes de drones. Les pilotes possèdent un niveau de conscience de la situation, une capacité de prise de décision, avion de chasse des aptitudes physiques réelles et une capacité à établir des rapports qui ne peuvent tout simplement pas être reproduits par des machines. En outre, le recours à des pilotes d’avion humains permet de s’assurer que les fonctions militaires sont menées de manière éthique et responsable, ce qui peut être essentiel pour maintenir l’aide du public aux opérations des services militaires. Alors que les drones joueront sans aucun doute un rôle extrêmement important dans les futures opérations des services militaires, il est clair qu’il y aura toujours un besoin de pilotes humains dans le cockpit.



L’art et le Covid


La pandémie de coronavirus a conduit à l’annulation des meilleures foires d’art au monde de l’année, car Mar, bloquant l’artère commerciale clé du secteur de plusieurs milliards de dollars. Mais Artwork Paris, qui peut être la deuxième plus grande œuvre d’art moderne de France acceptable, ouvre ses portes à des milliers de visiteurs dès jeudi à l’intérieur du Fantastic Palais. Le présent de quatre jours va de l’avant malgré une augmentation de l’infection au COVID-19 en Amérique. L’œuvre d’art Paris sera la première grande œuvre d’art mondiale acceptable pour le corps, il suffit de le faire étant donné que le coronavirus a balayé la communauté, bloquant les vols, provoquant des verrouillages et des échanges dévastateurs. En 2019, avant que la pandémie de coronavirus ne frappe, le prix du marché mondial de l’artisanat était d’environ 64 milliards de dollars. «Nous possédions cette conviction que nous possédions d’accomplir cela honnêtement simplement parce qu’il est très important pour vos galeries d’art de satisfaire leurs passionnés, vous vous rendez compte, après 6 mois d’inactivité globale. Et, vous le savez déjà, presque tout était désactivé, donc c’est vraiment essentiel », a déclaré Guillaume Piens, commissaire général de Craft Paris, à l’Associated Press. Les gestionnaires reconnaissent qu’il existe un «risque» et disent qu’un groupe de santé est sur le site Web pour évacuer tous les clusters COVID-19 possibles de vos galeries. Néanmoins, ils s’attendent à ce que ce processus ne soit entaché d’aucune infection liée à l’équité. «La zone de votre immense palais est majestueuse, de sorte qu’elle n’est pas considérée comme une pièce limitée. Il (a) plus d’un toit de calibre 45 », a déclaré Piens. Néanmoins, au milieu des angoisses d’une seconde vague, les membres de la communauté française ont exprimé leur consternation que ce genre de grande foire se déroule. « Vraiment? Je ne suppose pas qu’il soit tout à fait prudent de posséder beaucoup de gens les uns avec les autres, dispersant les germes et les bactéries. Ne pourraient-ils pas simplement l’annuler cette saison comme tous les autres? » a expliqué Karelle Dublot, une instructrice désuète de 26 saisons, qui se promenait dans les rues à proximité. «C’est une stratégie horrible. Le gouvernement français le sait-il? a demandé Marie Pierre, 31 ans, une occupante de Paris sans emploi. Art Paris a été initialement nommé pour avril, mais il était vraiment déterminé que le port du 10 au 13 septembre aurait été un meilleur match. Environ 6 000 amis masqués sont sur le point d’assister à l’ouverture échelonnée de la foire de Paris, contre 17 000 invités l’année dernière. Les amis de l’année à venir déplaceront non seulement les concessionnaires de 112 expositions, de 15 pays différents et de leurs œuvres d’art, mais aussi des bouteilles omniprésentes de désinfectant pour palmiers, et signaleront que des groupes de personnes dans de petites zones ne seront pas autorisés. Certains utilisateurs et exploitants de galeries d’œuvres d’art portent des masques faciaux scintillants et infusés d’artisanat pour essayer de produire une certaine légèreté malgré les limites. La plupart des annulations honnêtes d’œuvres d’art de cette année, y compris le modèle Might de Frieze Ny, ont mis en œuvre la fermeture anticipée de Tefaf Maastricht en mars, juste après qu’un exposant sur l’acceptable néerlandais ait contracté le virus le 9 mars. les deux douzaines au moins d’exposants et de visiteurs du site Web possédaient également contracté l’infection. Des foires comme Art Basel en Suisse, Frieze London au Royaume-Uni et Art Basel à Miami Seashore ont également été parmi les victimes de la pandémie. «Il se trouve qu’il n’y a pas eu de grandes foires d’art dans le monde depuis mars. L’œuvre d’art Paris est un premier. Je suis très heureux que cela continue, malgré les problèmes, car les hommes et les femmes sur le marché sont tout simplement en détresse », a déclaré Ian Rosenfeld de Collection Rosenfeld, une structure au Royaume-Uni. Malgré les dangers de la démonstration, de nombreux acteurs du marché des œuvres d’art affirment qu’il n’y a pas d’autre solution que de redémarrer, y compris Ellen Vehicle Heijningen, de la P Gallery basée à Athènes, qui a déclaré que le salon était «une excellente idée». «Ils ont utilisé des mesures. Il y a beaucoup d’espace … nous ne pouvons pas continuer à maintenir notre style de vie éternellement », a-t-elle déclaré. D’autres individus étaient beaucoup plus hyperboliques. «C’est une sorte d’existence et de situation mourante pour les galeries d’art, pour les artistes, pour les entreprises», a déclaré Hélianthe Bourdeaux-Maurin, directrice de la H Gallery, qui peut être honnête. Les limites du voyage et de la congrégation associées au COVID-19 ont rendu impossible la planification de plusieurs foires – en particulier les passionnés de création de jets d’art qui volent fréquemment des milliers de kilomètres pour acheter de l’artisanat.



Un kitkat pour les veggans


Plusieurs mois après avoir été initialement révélé, le nouveau KitKat végétalien de Nestlé obtient son lancement complet cette semaine, exploitant un domaine majeur de croissance des produits, rapporte Neill Barston.

Le développement de la nouvelle série a été couvert pour la première fois par Confectionery Production en février, alors que la marque continue de consolider son statut comme l’une des plus populaires de la gamme de l’entreprise.

Comme Nestlé l’a noté, le Royaume-Uni en particulier a vu une augmentation soutenue des produits et un domaine important de la catégorie des végétaliens en Grande-Bretagne a quadruplé entre 2014 (alors qu’il n’y avait que 150 000 végétaliens), jusqu’en 2019 où un total de 600 000 ont été officiellement enregistrés. , le chiffre continuerait de croître au milieu de la pandémie.

Selon la société, KitKat V contient du chocolat onctueux mélangé à une alternative au lait à base de riz qui équilibre magnifiquement la gaufrette croustillante. La barre a été développée par des chocolatiers et des scientifiques de l’alimentation dans le centre de recherche et développement de Nestlé à York, la maison d’origine de KitKat.

Louise Barrett, responsable du Nestlé Confectionery Product Technology Centre, s’est félicitée de son développement. Elle a déclaré : « Notre défi lorsque nous avons décidé de créer un KitKat respectueux des végétaliens était de recréer ce produit emblématique en utilisant des alternatives à base de plantes. Pour y parvenir, nous avons travaillé très dur pour obtenir le bon équilibre entre l’alternative au lait et le cacao.

« Le résultat est un chocolat végétalien dont nous sommes très fiers et qui, nous l’espérons, plaira aux fans de KitKat du monde entier », a-t-elle expliqué à propos de la série, l’entreprise ajoutant qu’elle aidait les gens à adopter davantage d’aliments à base de plantes. , avec des options dans sa large gamme d’aliments et de boissons, y compris des mélanges de café sans produits laitiers et du lait concentré végétalien Carnation.

Sascha Macchi, Brand Manager pour KitKat a ajouté : « KitKat défend les pauses depuis 1934 et si le besoin des gens de faire des pauses n’a pas changé, cours de cuisine la façon dont nous les prenons l’a changé. KitKat est une marque à succès car elle a évolué tout au long de son histoire et l’arrivée de notre bar végétalien signifie qu’il existe désormais une délicieuse alternative pour tous ceux qui souhaitent profiter d’une pause à base de plantes. Nous espérons que les gens l’aimeront autant que nous !

KitKat V (RRP £1) est certifié végétalien par la Vegan Society. Comme le reste de la gamme KitKat, il est fabriqué à partir de cacao 100% certifié durable, issu du Nestlé Cocoa Plan en collaboration avec Rainforest Alliance.



La sécurité économique


En avril 2017, la Chambre des représentants des États-Unis a adopté une révision bipartite du code de la faillite, qui accélérerait la résolution des intermédiaires correctement structurés. Cette colonne examine la nouvelle loi de 2017 sur la faillite des institutions financières et comment elle s’intègre au mécanisme Dodd-Frank existant. En augmentant les chances d’une résolution efficace, la loi (en complément de Dodd-Frank) renforce la crédibilité du régime américain. Cependant, en l’absence d’une disposition de type fonds de liquidation ordonnée pour un financement gouvernemental temporaire, les investisseurs et les régulateurs étrangers s’attendront à ce qu’un futur gouvernement américain réintroduise un mécanisme de sauvetage ad hoc lorsqu’il sera inévitablement nécessaire.
Franchement, s’il nous restait une solution basée uniquement sur le code de la faillite aux États-Unis, ce serait inquiétant… Nous devrions nous demander si nous pensons vraiment qu’il existe un mécanisme de résolution là-dedans qui… a ce dont il a besoin pour être efficace. ”
La faillite de Lehman le 15 septembre 2008 a marqué la phase la plus intense de la crise mondiale de 2007-2009, alimentant une ruée sur un large éventail d’intermédiaires. Suite à l’approbation par le Congrès du financement du Troubled Asset Relief Program (TARP) qui a été principalement utilisé pour recapitaliser les entreprises financières américaines, le mantra des régulateurs américains est devenu… nous ne retirerons pas un Lehman ».1 Par la suite, pour s’assurer qu’une autre grande institution ne échouent, les décideurs politiques ont choisi les renflouements pour contenir la crise. Par conséquent, nous avons encore aujourd’hui des intermédiaires qui sont trop grands pour faire faillite.
L’expérience de l’automne 2008 a convaincu de nombreux observateurs de la nécessité d’un régime de résolution robuste dans lequel les mastodontes financiers pourraient être réorganisés rapidement sans risque de contagion ou de crise. La question était, et demeure, comment le faire. Dodd-Frank a fourni une réponse à deux volets : la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) s’appuierait d’abord sur le code de la faillite (Titre I) ; et deuxièmement, sur une résolution financée temporairement (si nécessaire) par des ressources gouvernementales (Titre II). Le deuxième élément est communément appelé Orderly Liquidation Authority (OLA), qui est financé par le Orderly Liquidation Fund (OLF).
En réponse au mécontentement face à certaines parties de cette solution, le Congrès américain et le président travaillent sur des améliorations. Le mois dernier, la Chambre a adopté une révision bipartite du code de la faillite (H.R. 1667 Financial Institutions Bankruptcy Act of 2017, ou FIBA) qui accélérerait la résolution des intermédiaires adéquatement structurés. Plus tôt cette année, le président Trump a ordonné un examen du Trésor de l’OLA, craignant que l’autorisation de l’OLF d’utiliser les fonds publics n’encourage une prise de risque excessive par les créanciers, les contreparties et les actionnaires des sociétés financières » (Maison Blanche 2017).
Dans cette colonne, nous considérons la FIBA ​​et comment elle s’intègre au mécanisme Dodd-Frank existant. Pour résumer, la FIBA ​​renforce le premier élément de Dodd-Frank – rendre crédible son recours au code de la faillite. Cependant, il ne remplace pas les éléments essentiels du second : (1) le pouvoir d’utiliser le financement public temporaire (OLF) ; et (2) la capacité de travailler directement avec les régulateurs étrangers dans des cas (comme Lehman) impliquant des opérations étendues à l’étranger.
Un peu de contexte
Commençons par un peu de contexte sur les faillites aux États-Unis. La figure 1 montre qu’au moins six des dix principales faillites aux États-Unis (classées par actifs pré-faillite) étaient celles d’intermédiaires financiers. La faillite de Lehman, pour laquelle les procédures judiciaires sont toujours en cours, se distingue par sa taille, sa complexité et sa nature internationale – elle était plus importante que les cinq suivantes réunies. Sans surprise, les faillites entraînent souvent des pertes importantes pour les créanciers – après plus de huit ans, les détenteurs d’obligations senior de Lehman ont récupéré environ 42 cents par dollar (Wilmington Trust 2017).
Figure 1 Les dix principales faillites d’entreprises aux États-Unis par actifs avant la faillite (milliards de dollars)
Dans le cas d’un intermédiaire systémique comme Lehman, le problème bien connu de la procédure de redressement judiciaire standard (« Chapitre 11″) est qu’elle prend beaucoup trop de temps. Les courses se transforment presque immédiatement en panique, de sorte que la défaillance d’un intermédiaire peut se propager aux autres en un clin d’œil.2
Révision du code de la faillite
Pendant des années, des universitaires spécialistes du droit de la faillite ont travaillé sur une révision du code qui permettrait la résolution rapide des grands intermédiaires financiers complexes (LCFI). Appelée « chapitre 14 », leur solution suppose que les institutions auront à la fois une structure juridique et une structure de capital appropriées. Par exemple, les versions révisées du chapitre 14 sont conçues pour les grandes institutions financières complexes (LCFI) qui sont organisées comme une opération en étoile sous l’égide d’une société financière holding (FHC) et qui ont suffisamment de dette à long terme et subordonnée qui peuvent être amorties pour recapitaliser l’institution au cours du processus.3
L’idée du chapitre 14, désormais intégrée à la FIBA, repose sur des juges de faillite spécialisés pour entreprendre la réorganisation d’une LCFI au cours d’un week-end. La clé de ce système est sa focalisation sur le FHC. Cela permet une seule procédure judiciaire nationale, laissant toutes les filiales continuer à fonctionner (contrairement aux dizaines de procédures pour Lehman et ses filiales) (Miller et Horwitz 2013). Pourvu que le processus soit rapide, bien géré et crédible, les avantages d’une procédure de faillite sont substantiels. Le fait qu’ils soient fondés sur des décennies de décisions de justice sur les droits de propriété en vertu du code des faillites les rend prévisibles. Et, puisqu’il s’agit de procédures judiciaires, elles seraient clairement conformes à l’État de droit.
Plusieurs développements récents rendent une approche de résolution de la faillite du chapitre 14 plus réalisable qu’elle ne l’aurait été il y a dix ans. Les plus importantes sont les exigences selon lesquelles les LCFI doivent créer des «testaments biologiques» et émettre des montants importants de dettes à long terme non garanties. Sur la première, Adler et Philippon (2017) soutiennent que les testaments de vie, qui obligent les intermédiaires systémiques à détailler comment ils peuvent être résolus rapidement et en toute sécurité, peuvent être des guides utiles pour la résolution s’ils précisent comment la dette à long terme doit être utilisée pour recapitaliser un intermédiaire insolvable. À cela s’ajoute l’exigence de capital total absorbant les pertes (TLAC) (Tarullo 2016). En décembre 2016, le Federal Reserve Board a mis en place une règle obligeant les intermédiaires systémiques à émettre des dettes à long terme et subordonnées qui, associées à des actions ordinaires, créeraient une capacité minimale d’absorption des pertes égale à 18 % des actifs pondérés en fonction des risques ou à 7,5 % du total. des atouts.
La stratégie actuelle de la FDIC (sous Dodd-Frank) pour résoudre un intermédiaire systémique ressemble étroitement à l’approche du chapitre 14 incarnée par la FIBA. Appelé « point d’entrée unique » (SPOE), le mécanisme de la FDIC est également destiné à achever la réorganisation en un week-end et est conçu pour fonctionner par l’intermédiaire de la FHC, permettant des opérations ininterrompues des filiales (Federal Deposit Insurance Corporation 2013).
Comparaison de Dodd-Frank, chapitre 14 et FIBA
Une différence entre les deux méthodes est que, en se concentrant sur les processus judiciaires, le chapitre 14 restreint le pouvoir discrétionnaire de la réglementation. Dans l’état actuel des choses, Dodd-Frank permet à la FDIC de favoriser un créancier par rapport à un autre (sous réserve qu’aucun créancier ne soit moins bien loti que dans une faillite standard du chapitre 11). Certaines personnes ont fait valoir que le pouvoir de la FDIC de fournir à certains créanciers plus de fonds qu’ils n’en recevraient en cas de faillite ajoute de l’incertitude au processus et diminue la discipline efficace de la contrepartie dans des conditions normales (par exemple, Taylor 2017).
Cela nous amène à notre première conclusion : dans la mesure du possible, le transfert du processus de résolution de la FDIC aux tribunaux présente des avantages significatifs.
Mais Dodd-Frank fait plus que la FIBA ​​: il a également créé l’OLA et l’OLF. En ce sens, la FIBA ​​complète plutôt qu’elle ne remplace Dodd-Frank. Ce qui distingue le plus Dodd-Frank d’un pur mécanisme du chapitre 14 est l’OLF – la disponibilité d’un financement gouvernemental temporaire. Aucun intermédiaire, à l’exception d’un intermédiaire financé à 100 % sur fonds propres, n’aura une capacité adéquate d’absorption des pertes dans toutes les circonstances possibles. Comme le soutiennent Adler et Philippon, la solution la plus simple consiste à disposer d’un filet de sécurité gouvernemental temporaire qui agit à peu près comme le financement du « débiteur exploitant » (DIP) fonctionne dans les procédures de faillite ordinaires.
Le financement DIP est souvent un élément essentiel d’une réorganisation d’entreprise américaine. Il donne au juge de la faillite le pouvoir d’autoriser l’entreprise restructurée à emprunter d’une manière qui subordonne les créances des créanciers antérieurs. Un prêt DIP peut augmenter la valeur de recouvrement éventuelle pour les créanciers antérieurs en permettant à l’entreprise de continuer à fonctionner et de réaliser des bénéfices. Mais les prêts DIP sont généralement faibles : selon une analyse récente, le financement DIP commercial (non gouvernemental) a culminé en 2009 à 22,5 milliards de dollars, et représentait environ la moitié de ce montant en 2014. Il est important de noter que le plus gros prêt commercial DIP que nous ayons obtenu lors d’une recherche en ligne limitée n’était que de 10 milliards de dollars, soit une fraction de la perte de valeur marchande de 54 milliards de dollars par rapport au livre lorsque la faillite de Lehman a commencé.4
Ce décalage entre la disponibilité du financement privé du DIP et les pertes potentielles d’un mastodonte financier sous-estime sérieusement les arguments en faveur d’un financement gouvernemental temporaire pour rendre la résolution crédible. Lors d’une crise financière, plusieurs intermédiaires systémiques peuvent nécessiter une résolution rapide en même temps. Précisément à un tel moment, le financement DIP privé est susceptible de se réduire – les prêteurs habituels sont soit eux-mêmes systémiques, soit (comme les fonds spéculatifs à effet de levier) dépendants pour leur propre financement d’intermédiaires systémiques.
Le financement temporaire du DIP du gouvernement est, en fait, une forme d’assurance contre les catastrophes. Limiter cette assurance catastrophe – et l’aléa moral qui en résulte – exige que nous imposions des exigences strictes d’auto-assurance aux LCFI (sous la forme de fonds propres élevés et de seuils TLAC). Cela constitue la « franchise » des investisseurs privés et des contreparties en cas de crise. En tant qu’assurance contre les catastrophes, le financement DIP du gouvernement est analogue au rôle de la banque centrale en tant que prêteur en dernier ressort et au rôle du gouvernement en tant qu’assureur des dépôts. Dans aucun de ces cas, un groupe privé ne disposerait de ressources suffisantes en cas de crise. Ainsi, à moins que nous ne limitions la taille des intermédiaires, le gouvernement est un élément essentiel de tout mécanisme de résolution pouvant nécessiter des fonds DIP.
Alors que l’examen ordonné par le président Trump met en évidence la perte de discipline de marché due à la disponibilité de financements publics, certaines formes d’aléa moral sont tout simplement inévitables. Par exemple, l’absence d’un système de résolution crédible crée également un aléa moral : à savoir, la probabilité qu’un futur gouvernement confronté à une crise adopte un plan de sauvetage tout comme le gouvernement américain l’a fait avec le TARP en 2008. En conséquence, nous considérons que la réglementation (en particulier l’augmentation des fonds propres exigences) et la supervision en tant qu’outils nécessaires pour surmonter l’aléa moral de l’OLF. Comme la banque centrale et le fonds d’assurance-dépôts, l’OLF lui-même est un élément essentiel de tout cadre politique visant à assurer la stabilité financière.
L’importance d’un régime crédible
L’autre différence essentielle entre le chapitre 14 et la LLO réside dans l’attitude des régulateurs étrangers. Le danger est que, sans confiance dans le processus de résolution américain et sans la coopération d’un régulateur américain autorisé, ils peuvent préférer cantonner les actifs dans leurs juridictions (par exemple Carmassi et Herring 2015). En 2010, la Banque d’Angleterre et la FDIC ont approuvé un protocole d’accord visant à renforcer la confiance mutuelle au sujet de la résolution et à limiter l’incitation à saisir localement des actifs qui faciliteraient autrement une résolution mondiale juste et ordonnée (Banque d’Angleterre et Federal Deposit Insurance Corporation 2010). La perte de cette confiance et de cette coopération pourrait entraîner une course entre les régulateurs pour s’emparer des actifs, ce qui compromettrait une planification efficace du capital et une éventuelle réorganisation, précisément le contraire de ce qu’une procédure de mise en faillite crédible vise à réaliser.
Ainsi, comme le suggèrent les citations au début de ce commentaire, les régulateurs étrangers ont besoin d’être rassurés quant à la crédibilité du système de résolution américain en évolution. De notre point de vue, en augmentant les chances d’une résolution efficace, la FIBA ​​(en complément de Dodd-Frank) renforce la crédibilité du régime américain. Au fil du temps, les régulateurs étrangers peuvent également être rassurés que le mécanisme du chapitre 14 est similaire à la stratégie SPOE de la FDIC, qu’ils ont saluée. Dans les deux cas, la crédibilité du régime dépend de la présence de testaments de vie et d’un capital suffisant pour absorber les pertes.
En fin de compte, cependant, ni les investisseurs ni les régulateurs étrangers n’auront confiance dans un régime de résolution dépourvu d’une disposition de type OLF pour un financement gouvernemental temporaire. En son absence, ils s’attendront à ce qu’un futur gouvernement américain réintroduise un mécanisme de sauvetage ad hoc lorsqu’il sera inévitablement nécessaire. De ce fait, supprimer l’OLF ne limiterait pas le too big to fail ni n’empêcherait la prise de risque excessive qu’il alimente.



Simulateur de vol: pour découvrir le monde


Mon petit avion léger Cessna fonce sur la piste terriblement brève de Lukla, un aéroport situé à l’intérieur des collines de l’est du Népal et qui est considéré comme l’un des plus dangereux au monde. La conclusion de la piste approche rapidement pendant que je tire à nouveau sur le joug, mais je ne parviens pas à me lever. Je me résigne personnellement à mon sort, mais 50% un 2ème avant de claquer à l’obstacle fendant Lukla dans le vide brumeux en dessous, le petit avion se balance dans le flux d’air et tout d’un coup je me retrouve personnellement à monter plus bas un profond, énorme Vallée himalayenne parsemée de nuages ​​duveteux. 10 minutes plus tard, je voyage plus que New York, un étalement urbain bondé qui s’étend à perte de vue, la lumière du soleil scintillant des gratte-ciel. Ensuite, je suis sur ma ville natale de Glasgow, en Écosse, dans le plus épais de la tempête de pluie torrentielle. Je peux voir les rues dans lesquelles j’ai mûri sous moi. Ensuite, je suis quelque part au-dessus du Sahara. Le glacier Jökulsárlón en Islande. Les riches vallées de la dernière Zélande. Installez Fuji en Chine. Partout où je peux considérer que je peux aller, car dans Microsoft Air Travel Simulation, la planète entière est littéralement à portée de main. Cela semble incroyable, mais pendant que je fais tourner un globe tridimensionnel près de moi, je me rends compte que je peux décliner mon avion partout sur Terre et, après un simple écran de chargement, commencer à voler. Vous pourriez le faire parce que l’activité fournit sa planète en utilisant des informations satellite extraites de Bing Maps. Néanmoins, vous ne voyagez pas simplement en avion avec une cohérence fluide: le générateur prend généralement ces informations de carte routière puis les remplit sagement avec des buissons, de l’eau, des bâtiments et même de petits détails, par exemple les visiteurs sur les routes. La hauteur est également fournie avec précision, ce qui entraîne des variations de montagne / colline et des vallées béantes. L’équipe de croissance de Microsoft Airline Flight Simulation semble particulièrement très fière de ses nuages, et à juste titre. Ce sont des problèmes colossaux, volumineux et tridimensionnels, réfractant et capturant le soleil, gonflant d’obscurité à mesure que la pluie s’accumule et dérivant à travers le paysage, projetant d’immenses ombres au fur et à mesure. Les nuages ​​peuvent même projeter des ombres sur d’autres nuages. Le résultat est un certain nombre des plus grands cieux que j’ai connus sur ordinateur, et des cieux qui sont beaucoup plus étonnants que d’énormes simulations de solutions de conditions sophistiquées, pas simplement de jolies skyboxes. Sérieusement, je pense que je suis plus intéressé par Microsoft Flight Simulation comme étant un instrument relaxant. Je vais plonger dans le simulateur, confiant, néanmoins je me verrai personnellement y participer en général pour la même cause que je m’engage dans Euro Van Simulation 2: comme moyen de zen. Certains des programmeurs à qui j’ai parlé l’ont reconnu, affirmant qu’ils utilisent souvent cette méthode par eux-mêmes. Démarrez les aides, sélectionnez une partie calme du monde entier et profitez simplement du voyage. Aussi grand et fantastique qu’Euro Van soit, cela l’a certainement défait (et les uns les autres, Simulateur de vol Marseille par exemple) en ce qui concerne l’assortiment complet de domaines proposés. J’ai joué à la critique pendant 4 heures et j’ai remarqué que je n’avais à peine plongé les pieds dans la piscine. Il y a beaucoup à découvrir dans cet article et je ne peux pas non plus attendre pour faire tourner à nouveau ce monde entier et découvrir où le vent m’exige.